Un destin de rage & de flamme | K.A. Tucker (Fate & Flame #1)

Résumé :

Comment croire en l’amour lorsque le destin a déjà tissé sa toile  ?  

Pour survivre, Romeria a toujours été prête à tout, jusqu’à devenir la voleuse la plus réputée de New York. Alors, lorsqu’on lui pose un ultimatum, elle n’a d’autre choix que d’accepter de dérober une pierre mystérieuse. Mais elle n’aurait jamais imaginé qu’en débutant cette mission elle serait propulsée dans un autre monde et réincarnée en la princesse destinée à épouser le futur roi Zander. Cet homme la déteste de tout son être, et à raison  : dans cet univers, Romeria est accusée d’avoir tué les parents de Zander et mis son règne en péril, alors même qu’ils devaient se marier. Pourtant, quand ce dernier lui propose de l’aider à déjouer le complot qui se trame contre lui, Romeria saisit sa chance, même si cela signifie devoir prétendre qu’ils s’aiment passionnément. Un jeu dangereux pour la voleuse, qui ne doit pas baisser sa garde. Car que se passera-t-il si son cœur ne veut plus seulement battre pour survivre, mais pour aimer  ?

 

Je n’avais pas lu cette autrice depuis plusieurs années et ça m’avait vraiment manqué ! Le registre est différent, puisqu’on quitte le contemporain pour de la fantasy et même si j’adore les Faes, j’ai adoré être immergé dans un nouvel univers où on rencontre des elfes, des vampires et très certainement d’autres.

On a un contraste intéressant entre une héroïne de notre époque, vivant à New-York qui se voit proposer contrainte d’accepter un ultimatum, qui la plonge en pleine époque médiévale où les personnages vivent entourés de magie, de vampires et d’elfes. J’ai aimé découvrir l’univers en même temps que Romeria et que les personnages lui enseignent leurs coutumes, même si ça crée quelques longueurs, c’est quand même appréciable de comprendre l’univers et de découvrir progressivement ce nouveau monde.

J’ai manqué de temps pour lire donc les premiers chapitres ont été un peu laborieux, notamment le prologue que j’ai trouvé un peu long. Je dois admettre qu’une fois les bases posées, l’univers est captivant et les révélations intrigantes. Comme je le disais plus haut, c’est appréciable de découvrir de nouvelles espèces magiques et honnêtement j’ai trouvé ça rafraîchissant. C’est la première fois que je lis une fantasy qui n’est pas avec des Faes, même si j’adore, ça c’est surtout ce type de romanstasy qui sont sorties en grand nombre.

Romeria est une héroïne intéressante, elle a eu une enfance défavorisée et elle a dû s’en sortir comme elle le pouvait. Aujourd’hui, elle est contrainte d’être une voleuse pour s’en sortir et elle a sacrifié beaucoup de chose pour survivre. Elle va faire une rencontre qui va changer sa vie, ses certitudes et la plonger dans un univers inédit. J’ai beaucoup apprécié sa sensibilité, elle n’apprécie pas qu’une race soit supérieure à l’autre et elle prend à cœur de venir en aide aux plus faibles. Evidemment, le fait qu’elle vienne des temps modernes et qu’elle est plongée dans une époque médiévale on a un vrai choc des époques et elle apporte un petit côté progressiste intéressant.

J’ai beaucoup le côté royauté apporté par le futur roi Zander, même si on n’a très peu d’informations sur lui, sa position nous plonge au cœur de complots politiques qui rendent le récit intéressant et le début de romance bien qu’un peu rapide est bien menée et mignonne.

J’ai déjà acheté le tome 2, même si je le lirais plus tard j’ai hâte de voir ce que le tome 2 nous réserve.

Un hiver pour te résister | Morgane Moncomble (Seasons #2)

Résumé :

Star montante du patinage artistique, Lily n’a qu’un seul objectif : remporter la médaille d’or au Championnat Mondial. Lorsqu’elle rencontre son nouveau partenaire, elle est aux anges.

Son modèle de toujours, c’est lui : Orion Williams.

L’homme qu’elle se surprend à mépriser dès leur première rencontre…

Champion maudit, Orion ne rêve que d’une chose : arrêter le patinage artistique. Quand son coach lui impose une dernière partenaire, il craint qu’elle finisse comme toutes les autres, blessée ou pire.

Sa plus grande fan, c’est elle : Lily Pham.

La femme avec qui il doit cohabiter pour les quatre prochains mois…

Malgré leurs débuts houleux, c’est dans la tragédie que Lily et Orion se rapprochent en espérant remporter la première place. Mais à quel prix ?

J’étais très heureuse de découvrir de nouveaux personnages dans cette suite et on peut dire que c’est une réussite. J’avais bien aimé le côté romantic-suspense du premier, mais j’ai préféré ce tome qui était tout doux.

Lily rêve remporter la médaille d’or au Championnat du Monde de patinage depuis ses treize ans. Lorsqu’elle son partenaire se blesse, elle saisit l’opportunité de patiner avec son modèle de toujours Orion Williams. Seulement parfois quand on rencontre son idole, la réalité n’est pas vraiment comme dans ses rêves. A commencer par leurs rapports conflictuels, alimenter par un partenaire pas du tout coopératif. Orion, se voit imposer une nouvelle partenaire, alors qu’il a disparu des radar depuis 3 ans et il est prêt à tout pour que ce partenariat échoue. C’est sans compter sans l’agent de se dernier qui décide de les forcer à cohabiter pour apprendre à se connaître.

Le sport ce n’est pas vraiment mon truc, mais pour le coup enfant il m’arrivait de regarder le patinage en me disant qu’ils étaient beaux et je dois dire que j’imaginais facilement les scènes. On a deux personnages que tout opposer, d’un côté Lily est une perfectionniste qui donne tout pour obtenir la première place quitte à s’oublier un peu. Et de l’autre Orion le prodige maudit qui va venir bousculer son quotidien et mettre sa patience à rude épreuve. J’ai beaucoup apprécié la cohabitation forcée et les premières semaines chaotiques où tous les coups sont permis.

Un événement majeur va nous faire quitter le côté romance prévisible et on ne peut que s’attacher à ces personnages qui souffrent beaucoup trop pour ma santé mentale ! On aborde de belles thématiques en dehors du sport et la compétition et je ne m’attendais pas à ça.

On a encore une belle révélation sur Nolia et ça ne fait qu’attiser la curiosité pour la suite. Hâte de découvrir ça en mars.

Reminders of Him | Colleen Hoover

Résumé :

Une jeune mère hantée par son passé aspire à une chance de rédemption dans cette histoire déchirante mais pleine d’espoir de Colleen Hoover.

Après avoir passé cinq ans en prison à la suite d’une erreur tragique, Kenna Rowan retourne dans la ville du drame qui a détruit sa vie avec la volonté inébranlable de retrouver sa fille de quatre ans. Mais tout le monde dans la vie de sa fille est déterminé à l’exclure, peu importent les efforts qu’elle déploie pour reconstruire sa vie. La seule personne qui n’a pas encore rejeté Kenna est Ledger Ward, propriétaire d’un bar local et l’un des derniers liens avec sa fille. Mais si quelqu’un devait apprendre que Ledger devient peu à peu un pilier de la vie de Kenna, tous deux risqueraient de perdre la confiance des personnes qui leur sont chères.Malgré la pression qui les entoure, ils se découvrent et s’attachent, mais à mesure que leur idylle grandit, le risque s’accroît. Kenna doit trouver un moyen d’absoudre les erreurs de son passé afin de construire un avenir fait de résilience, de pardon et d’espoir.

Ça m’avait tellement manqué de lire Colleen Hoover, elle a cette capacité à faire oublier le monde autour et à m’embarquer dans son univers. J’ai acheté ce roman sans lire son résumé pour garder la surprise et parce que je suis rarement déçue des romans de cette autrice. J’ai vraiment adoré la manière dont est traitée l’histoire et les failles des personnages.

Comme à son habitude, on est sur une rencontre haut en couleur qui marque les esprits et malmène ses personnages. Nous faisons la connaissance de Kenna qui après avoir passé 5 ans en prison une mauvaise décision, retourne dans la ville du drame pour faire la connaissance de sa fille de 4 ans. Sans grande surprise, elle n’est pas la bienvenue en ville et les grands-parents de sa fille vont tenter de la maintenir à distance, ne souhaitant pas qu’elle fasse partie de la vie de sa fille. Elle fait la connaissance de Ledger, propriétaire d’un bar local dans des circonstances dont Colleen Hoover a le secret et qui accessoirement va avoir un lien très proche avec sa fille.

Au début j’étais partagé, je suis pour les secondes chances et le pardon, mais j’avais peur d’avoir du mal à m’attacher à Kenna. On ne peut pas reprocher le fait que les grands-parents ne veulent pas de Kenna dans leurs vies après ce qui s’est passé. Néanmoins l’aspect psychologique est vraiment incroyable, on a une héroïne qui a fait la plus grosse erreur de sa vie et qui l’assume, et ne s’en cache pas c’est sans doute elle qui est le plus dur avec elle-même. Seulement elle n’a pas d’argent, trouve difficilement du travail et elle n’a personne sur qui se compter. C’est sa solitude qui m’a touchée, elle n’a rien et veut seulement rentrer la fille qu’elle a mise au monde. Évidemment à aucun moment ses actions sont minimisées, mais séparer une mère de son enfant est également terrible et on voit la souffrance que ça engendre. Elle a pris une mauvaise décision quand elle était jeune, mais je trouve qu’elle a la tête sur les épaules et qu’elle veut reprendre sa vie en main.

Le personnage de Ledger a très bien su retranscrire mes émotions, au départ on est sur le rejet et l’idée que Kenna revienne dans cette ville est comme un affront. Il est prêt à tout pour protéger cette adorable petite fille et il va garder un œil sur cette femme qu’il déteste, mais qui pourtant a l’air tellement triste. Il va découvrir une femme seule, qui tente de s’en sortir comme elle peut et il va découvrir qu’elle n’est pas mauvaise. Elle ne veut pas chambouler le quotidien de sa fille et à aucun moment elle ne remet pas en cause la décision de la garde sa fille, on ne peut qu’éprouver de l’empathie. A travers ses yeux, on va découvrir que rien n’est ni tout noir, ni tout blanc, il y a parfois des zones grises.

Le sujet est difficile à traiter et en fonction du vécu de chacun il ne sera pas accueilli de la même manière par tout le monde. Personnellement ça fait longtemps qu’une lecture ne m’avait pas autant touchée. J’ai trouvé que les sentiments étaient décrits avec justesse. Beaucoup d’émotions lors de ma lecture et j’ai apprécié les thématiques abordées telles que le deuil, le pardon et les secondes chances, avec une belle romance compliquée comme elle en a le secret. J’ai lu le roman assez rapidement, la lecture est toujours aussi fluide.

L’Héritier trahi | Holly Black (The Stolen Heir #1)

Résumé :

Huit ans se sont écoulés depuis la Bataille du Serpent. Mais dans le nord glacial, dame Nore de la Cour des Crocs a récupéré la Citadelle de l’Aiguille de glace. Là, elle utilise une ancienne relique pour créer des monstres féroces qui répondent au moindre de ses ordres. Son but : renverser le roi Cardan, prendre le pouvoir sur Dolmelfe… et réduire le monde des humains à néant. Wren, la fille de Dame Nore est la seule à pouvoir l’arrêter. Chêne, prince de Terrafae, requiert donc son aide pour empêcher dame Nore d’arriver à ses fins. Mais le passé de Wren et Chêne est celui d’une amitié tourmentée, parsemée de déceptions. Alors que les enjeux les dépassent désormais, peuvent-ils se faire confiance ?

J’ai hésité à acheter cette nouvelle série pour des raisons purement esthétiques, car j’ai les brochés de Le Prince Cruel et du coup cette édition ne sortait qu’en relié donc dans ma bibliothèque ce n’est pas beau snif. J’avais quand même envie de découvrir cette nouvelle histoire. J’étais d’ailleurs impatiente de replonger dans cet l’univers captivant et retrouver ses personnages.

L’histoire se déroule huit ans après la Bataille du Serpent. On va se focaliser cette fois-ci sur Chêne, mais la narration est donnée à une toute nouvelle héroïne. Wren, il s’agit d’une héroïne comme je n’en ai rarement vu, elle se qualifie elle-même de monstre et ça contraste totalement avec sa personnalité bienveillante. Consciente qu’elle est physiquement effrayante et compte tenu de son passé, elle s’est toujours tenue à distance des autres. Elle en est devenue très solitaire et regarde les autres vivre sans y rendre part.

Sa route va croiser à nouveau celle de Chêne, je n’en ai aucun souvenir, mais nous l’avions déjà rencontré dans Le Prince Cruel. Je dois dire que quand je découvre la belle personne qu’est Wren je regrette de l’avoir oubliée, car elle a clairement une belle âme. J’avais peur que l’histoire soit un copier-coller de celle de Jude et Cardan, mais cette nouvelle intrigue est parvenue à se démarquer et à captiver mon intérêt jusqu’à la dernière page.

Le point de vue de Chêne est peut-être manquant, mais sur les derniers chapitres on comprend pourquoi et on est finalement au même niveau que Wren et ce n’est pas désagréable de ne pas avoir toutes les réponses. J’ai bien aimé les interactions entre les personnages et même si la romance n’en est qu’à ses balbutiements, j’ai bon espoir que la suite soit à la hauteur.

La Fille qui prenait les armes | Amy Harmon

Résumé :

Massachusetts, 1780. Depuis la petite ferme isolée du Massachusetts où elle travaille comme servante depuis ses dix ans, Deborah Samson rêve de Boston, de New York et de Philadelphie, de découvrir des endroits qui n’ont pas encore de nom… À vingt et un ans, elle attend impatiemment le jour où elle pourra enfin goûter à la liberté et explorer le monde. Alors, quand la guerre pour l’indépendance des colonies éclate, elle trouve dans la cause américaine, opposée à l’oppression anglaise, un écho singulier à sa propre situation. Enflammée par les rêves de liberté d’un pays tout entier, Deborah bande sa poitrine, enfile un uniforme et s’enrôle dans l’armée continentale. Sa taille élancée fait d’elle un soldat convaincant, mais les risques sont considérables et, confrontée à l’horreur du champ de bataille, elle devra lutter pour garder son identité secrète…

Ce n’est pas du tout mon style de lecture et pourtant encore une fois Amy Harmon m’a complètement envoûtée et emportée dans son univers. C’est une autrice qu’on lit encore trop peu en français donc je ne manque aucune de ses publications lorsqu’on a la chance de pouvoir la lire à nouveau.

C’est un livre inspiré de faits réels sur la vie de Deborah Samson. Bien que romancée, l’histoire s’intéresse à la vie d’une jeune fille qui depuis le départ de son père est contrainte de vivre de foyer en foyer sans connaître le sens réel des mots famille et amour. Et puis un jour, elle est conduite dans un nouveau foyer en tant que servante et au contact des fils de la famille, elle va développer une volonté de liberté et surtout ne pas se cantonner à son rôle de simple fille à l’avenir tout tracé, avec pour seul objectif de trouver un mari.

Quelques années plus tard, la guerre d’Indépendance éclate et elle voit les hommes partir les uns après les autres pour se battre. Avec les années, elle ne cesse de rêver de liberté, et surtout elle aimerait participer à cette guerre qui est interdite aux femmes. Tant de questions se bousculent et après plusieurs obstacles, elle décide de s’enrôler en se faisant passer pour un jeune soldat. Dans son périple, nous voyons la jeune enfant évoluer, s’épanouir et grandir, pour enfin pouvoir devenir la femme forte qu’elle a toujours rêvée d’être et au cœur de la guerre, elle découvre la dure réalité de la guerre, mais également le bonheur de connaître la liberté acquise à tout homme.

Pour être honnête, quand j’ai lu le résumé j’ai pensé à Mulan et sachant que j’adore ce dessin animé j’avais très envie de découvrir le même genre de romance, même si c’était une version historique et que ce n’est pas nécessairement la temporalité que je préfère. Je ne peux pas dire que je sois surprise d’avoir autant apprécié cette histoire, tout simplement car Amy Harmon a cette incroyable capacité à mettre en lumière des personnages charismatiques et un récit émouvant.

J’ai dévoré le récit sans pouvoir m’arrêter et j’ai adoré ce sentiment de bonheur lorsque j’ai refermé mon livre ce sentiment de dépaysement et une fierté de voir qu’une telle femme a existé. Bien que ce soit davantage un récit de vie qu’une romance, vous savez que pour moi c’est indispensable et elle m’a totalement ravie ! D’ailleurs, tout ce qui se rapporte de près ou de loin à l’incroyable vie de Deborah Samson m’a tout simplement conquise.

Ambrosia | C.N. Crawford (Frost and Nectar #2)

Résumé :

Sous son air glacial et son sourire diabolique, Torin, le Roi des Faés dissimule un lourd secret. Victime d’une malédiction, il ne peut pas toucher une femme dont il est vraiment amoureux, sinon celle-ci meurt aussitôt. Contraint de trouver une épouse qu’il n’aimera pas, le Roi choisit Ava, une jeune femme mi-Faé mi-Humaine. Aucun risque, puisqu’ils se sont détestés au premier regard. Sauf que… peu à peu, des sentiments naissent entre eux. Au point que Torin se retrouve sur le point de tuer Ava. Au seuil de la mort, elle est transportée par magie de justesse dans un autre monde, un royaume qui est en guerre contre les Faés. Accusée par les siens d’être une traîtresse, Ava va devoir faire de lourds sacrifices. Car l’amour interdit qu’elle éprouve pour Torin pourrait bien lui être fatal… Une malédiction. Des royaumes en guerre. Un amour interdit.

L’histoire reprend là où on l’avait laissé à la fin du 1er opus et on retrouve Eva qui a été transportée par la magie dans le royaume des unseelies, qui est en guerre contre les Faés. Elle est contrainte de faire face à des révélations concernant son passé et malheureusement, elle n’est pas la bienvenue dans ce nouveau royaume.

La romance occupe une place importante et on est sur un amour interdit intéressant, mais pas totalement aboutie. J’ai apprécié malgré toutes les révélations tant attendues et l’attraction entre les personnages.

Honnêtement, j’ai voulu autant aimer ce second opus que le premier, mais je suis passée un peu à côté. Je n’ai pas compris que l’intrigue soit aussi différente de celle du premier opus qui étaient une compétition pour conquérir le roi et sauver le peuple du froid et la famine. Ici on change de royaume et bien que l’action et les rebondissements soient au rendez-vous, c’est trop différent du premier opus et ça m’a perdue dans l’histoire.

Ça reste rapide à lire grâce à la simplicité de l’intrigue, mais je n’étais pas totalement à fond dans ma lecture. Après j’ai même du mal à écrire cette chronique, car la lecture ne m’a fait ni chaud, ni froid. Dommage pour conclure la dernière lecture de l’année, mais il y en aura d’autres en 2024 !