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Le Gardien des secrets | Emma Cavalier (Les Trois Talents #2)

Résumé :

Quand la distance révèle la passion… Le deuxième volet des Trois talents nous entraîne à New York où Lex, qui a obtenu la bourse Perdini, cumule plusieurs activités entre journalisme et photographie, sans parvenir à oublier sa culpabilité envers Elisabeth. Il se lie avec Eviva : une jeune artiste à la réputation sulfureuse qui fréquente le milieu underground new-yorkais et lui propose de l’accompagner dans ses soirées de débauche.
De son côté, Elisabeth est en proie à une violente dépression. Cherchant à retrouver son identité, elle se retire du monde et se lance dans un pèlerinage qui va la jeter sur les routes du Sud de la France. On suit en parallèle les folles aventures de Lex dans la nuit new-yorkaise et le voyage d’Elisabeth entre épreuve expiatoire et lutte contre ses pulsions. Mais aucun des deux ne trouve satisfaction dans ces excès, car ils restent marqués par la nostalgie de la relation intense qui les unissait.
Une romance torride et haletante…

Je remercie les éditions Blanche pour l’envoi de ce roman
Ce roman est le 2ème tome d’une série, la chronique peut contenir des spoilers.

J’ai eu énormément de mal à écrire cette chronique, tout simplement parce que j’apprécie particulièrement la plume de l’auteure et la manière dont elle arrive à accrocher son lecteur. Je voulais vraiment retrouver l’ambiance du premier opus et malgré ce désir il m’a été impossible d’accepter la manière dont l’histoire se déroulait. J’ai poursuivi ma lecture sans mal, grâce à une écriture agréable et fluide, mais à mon sens ce second opus n’a aucun rapport avec une romance érotique. Peut-être est-ce lié au fait que nos héros sont séparés ou tout simplement, je n’ai pas réussi à accrocher aux scènes érotiques sans qu’aucun sentiment amoureux n’en émerge. Difficile d’expliquer le malaise qui accompagnait parfois ma lecture, mais la romance est pour moi un critère indispensable et ce roman érotique n’a pas su me faire accepter l’absence de la romance.

Après leur dispute en fin de tome précédent, nous quittions nos deux héros dans une situation destructrice. Malgré les mois passés, Lex n’a pas totalement oublié Elisabeth, mais il s’efforce de profiter de la vie à New York, au cours d’une soirée il fait la connaissance d’Eviva, qui va lui présenter un groupe d’amis ce qui va lui permettre d’avoir des contacts dans le milieu de la nuit et plus particulièrement dans le monde BDSM. Bien que sa culpabilité soit toujours là, il va continuer sa vie sans réellement analyser ce qu’il a perdu et j’avais parfois l’impression qu’il n’était pas tellement affecté par la situation. Après la révélation de son secret, j’aurais pensé qu’on s’attarderait un peu plus sur sa situation, alors que l’auteure a fait le choix de le laisser retourner dans ses vices et au final, j’avais du mal à apprécier son évolution à travers toute cette débauche. Je comprends qu’il s’agisse d’une sorte de décente aux enfers, mais j’ai eu du mal à me sentir à l’aise avec cette nouvelle vie.

Du côté d’Elisabeth on ressent de réelle difficulté à s’en sortir, après les révélations de Lex et la fin de leur relation, la jeune femme va avoir du mal à remonter la pente. Je n’ai pas forcément compris les choix qu’elle va prendre, mais dans sa quête elle va essayer de trouver des réponses dans un périple surprenant. Bien que la narration s’intéresse davantage à Lex, nous allons découvrir un véritable changement chez la jeune femme et la situation va prendre une direction particulière que j’ai trouvée assez perturbante. C’est une impression assez personnel, mais j’ai eu du mal à me retrouver dans sa manière de gérer son chagrin, sans compter qu’elle va être méconnaissable et j’ai eu du mal à retrouver notre héroïne dans ses réactions disproportionnées.

Vous l’aurez compris, l’histoire n’a pas vraiment réussi à me convaincre et je redoutais qu’on prenne cette direction. A commencer par la séparation, c’est vrai qu’elle était indispensable pour que nos héros puisse revenir sur de bonnes bases, mais les voir vivre autre chose sans réellement penser à la relation qu’ils avaient m’a vraiment déçue. J’avais l’impression que tout ce qu’ils ont vécue dans le tome précédent n’avait aucune importante et pour moi on perd le fil conducteur de cette histoire. Certes on aborde toujours des thèmes similaires, mais on ne progresse pas tellement notamment dans le passé de Lex qui semble l’avoir conditionné à être ce jeune homme et au final, ce qui paraissait être une intrigue intéressante n’est pas exploité.

J’avais bon espoir que nos héros puissent ressortir grandit de cette séparation, alors oui j’ai détesté chaque moment où ils continuent de vivre leur vie, mais je peux facilement accepter de les voir se prendre en main pour mieux en tirer des enseignements, mais cette distance est vraiment trop longue et mon côté monogame, n’a vraiment pas apprécié cette débauche, surtout pour en être au point de départ à la fin. Quelle frustration d’apprécier découvrir la plume d’une auteure, mais grincer des dents quand l’histoire ne correspond pas à vos désirs de rêveuse. Beaucoup trop d’érotisme dans ce tome pour me séduire. La curiosité me pousse à laisser le dernier mot au troisième tome, mais ce manque de romantisme me fait craindre le prochain tome.

Mon avis sur Le conteur d’histoires #1 ICI
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Sous le même toit | Jojo Moyes

Ce roman m’a déçue et je n’imaginais pas un jour ressentir ça avec cette auteure fabuleuse. J’ai acheté ce roman sur un coup de tête sans vraiment me renseigner sur l’avis des premiers lecteurs, lorsque j’ai décidé de me lancer dans cette histoire les premiers chapitres m’ont dérangé notamment à cause la narration, j’avais l’impression de m’être trompé de roman. Une fois la surprise passée, les évènements annoncés ont fini par arriver et je pensais réellement rentrer dans l’histoire à cet instant, sauf que bien évidemment ce n’est pas aussi simple, arrivée à une centaine de pages l’ennui m’a poussé à faire des recherches sur les premiers avis et effectivement les longueurs étaient ressenties par plusieurs lecteurs. Décidée à lui laisser sa chance, j’ai avalé cent pages supplémentaires et l’histoire a enfin commencé à être intéressante, mais très franchement le mal était fait. J’ai terminé ce roman dans un meilleur état d’esprit, mais mitigée.

Isabel a perdu son mari il y a quelques mois, aujourd’hui bien qu’elle soit toujours effondrée les premières difficultés financières liées aux dettes de celui-ci commencent à devenir problématique. Un coup du sort va lui faire hériter d’une maison dans la campagne anglaise, décidée à reprendre sa vie et celle de ses enfants en main, la jeune veuve va débarquer sur un coup de tête dans cette maison et découvrir que ce qu’elle croyait être un havre de paix, s’avère être délabré. Bien que Kitty sa fille aînée soit réticente à cette nouvelle vie, l’air de la campagne semble faire du bien au traumatisme de son fils Thierry. Rénover cette maison semble être la solution à tous ces problèmes, alors lorsqu’un voisin lui propose son aide elle accepte, car dépassée par les évènements. Rapidement les travaux vont être un vrai gouffre financier et cette vieille maison espagnole semble attirer les vieilles querelles et les jalousies.

Cette famille à des côtés attachants, mais la narration à la troisième personne semble dresser une barrière entre les personnages. A commencer par Isabel qui est en plein deuil et ne semble pas disposer à s’ouvrir aux autres, j’ai compris cette souffrance qui l’habitait mais sa naïveté m’a parfois tapé sur les nerfs, sans compter qu’elle se repose un peu trop sur Kitty. J’ai d’ailleurs beaucoup apprécié cette jeune fille qui est un moteur pour sa famille et elle va pousser sa mère à être plus courageuse pour sa famille. Thierry de son côté est un jeune garçon très attachant et le voir s’épanouir au contact de Byron m’a fait plaisir, car ces deux personnages sont marginaux et lorsqu’ils sont en contact l’un avec l’autre, le bonheur déborde des pages. Les villageois sont à la fois présents et invisibles, certains sont plus intéressants, mais ils sont comme des spectateurs à commenter ce qu’ils observent sans vraiment intervenir dans l’intrigue.

En bref, même si la dernière moitié rattrape le début ce roman ne fait clairement pas partie des meilleurs de l’auteur. J’étais habituée à ressentir un milliard d’émotions en lisant ses romans, alors qu’ici tout est trop tranquille. Certes la tristesse d’Isabel est perceptible, mais son deuil ne m’a pas autant touché que je m’y attendais. L’histoire demeure assez linéaire et certaines scènes traînent trop en longueur, je n’arrivais pas à comprendre où Jojo Moyes voulait en venir et le temps que l’histoire prennent sens, ma déception était engagée.

Coup de Coeur <3, Uncategorized

Forbidden | Tabitha Suzuma

Merci Milady et Net Galley pour cette lecture

Avant tout j’aimerais rappeler que ce roman n’est pas à mettre entre toutes les mains, notamment car le thème est relativement difficile et pourrait choquer certains lecteurs. J’ai énormément entendu parler de ce roman et avant de me lancer j’étais craintive de débuter une telle histoire, mais en bonne lectrice qui se respecte je n’ai pas pu résister à l’appel de la curiosité et cette lecture m’a profondément bouleversée.

Je vous avoue que l’écriture de cette chronique est extrêmement difficile, j’ai du m’y remettre à plusieurs fois avant de vous rédiger des phrases ayant du sens. J’ai beau prendre de bonne inspiration, je me sens complètement démuni face à cette histoire hors du commun. J’ai lu beaucoup de roman différents, certains classiques et d’autres plus dérangeants, jusqu’ici je n’avais jamais lu de roman comme celui-ci et j’ai véritablement été affectée par les émotions qui se dégagent du récit. Je n’étais pas préparé à vivre aussi intensément cette histoire et depuis que j’ai terminé ma lecture, je me sens différente.

Maya et Lochan n’ont que treize mois de différence et malgré leur jeune âge, ils sont contraints de jouer le rôle de parents pour le reste de la fratrie allant de 13 à 5 ans. Déterminés à assumer ce que leur mère semble prendre à la légère, ils sont tous les deux dans une position difficile devant jongler entre leurs études et l’éducation de leurs jeunes frères et sœurs. Cette situation peu commune va les conduire à se rapprocher au delà d’une simple relation fraternelle, ensemble ils vont devoir affronter le rôle de parents et être confronté à la naissance de sentiments amoureux, qu’ils n’avaient encore jamais vraiment éprouvés et qui va les ébranler, car ils sont conscients que ce n’est pas normal d’éprouver ces sentiments, pourtant ensemble ils vont lutter pour s’en sortir et tout donner pour leur famille.

Lochan va bientôt avoir dix-huit ans et bien qu’il soit un excellent élève, il a de gros problèmes en société. Cette différence va le conduire à rester solitaire et ses seuls contacts se résument aux temps qu’il passe avec ses frères et sœurs. Et on peut dire que c’est grâce à lui que les enfants s’en sortent, il a cette manière qu’on pourrait qualifier d’autoritaire de s’occuper d’eux, mais à bien y regarder on voit parfaitement qu’il désire le meilleur pour eux, il a toujours été question de les protéger, d’abord de leur mère, puis d’eux-même. J’ai été terriblement touchée par son parcours et sa timidité m’a brisé le cœur, cette détresse qu’il renvoie lorsqu’il se sent acculé m’a vraiment brisé le cœur. Alors lorsqu’il se rapproche de Maya, on a du mal à voir l’horreur dans leur relation, car malgré le côté interdit cet apaisement qu’ils ressentent au contact l’un de l’autre, m’a vraiment fait réfléchir. Ils savent tous les deux que c’est mal et on ressent sans mal l’oppression qui les étouffent, ce combat intérieur pour ne pas succomber. Cette souffrance, puis progressivement l’apaisement et ce réconfort, qui ne peut pas être totalement mauvais.

Avant de rencontrer les personnages j’avais du mal avec l’idée d’une relation amoureuse entre un frère et une sœur et ce n’est pas le genre de romance qui fait rêver et mon idée de base n’a pas changé pour autant. Le sujet me met toujours un peu mal à l’aise et je n’ai pas des papillons pleins les yeux, seulement la qualité du récit et les émotions qui s’en dégagent son authentique et dans le cas de nos héros, ce à quoi ils sont confrontés, je n’ai pas réussi à les haïr de pouvoir enfin être aimé. Même si on n’accepte pas le sujet principal, on ne peut pas enlever aux héros qu’ils ne se sont jamais vraiment comportés comme un frère et une sœur. La composition de la famille les a forcé à devenir adulte et assumer des responsabilités qui n’étaient pas les leurs, alors oui il y a un part de compréhension. Malgré toutes les émotions contradictoires lorsqu’on est face à cette relation, il m’a été impossible de les condamner et j’ai versé un torrent de larmes face à cet amour impossible qui m’a littéralement brisé le cœur. Un roman inoubliable.

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Les corps inutiles | Delphine Bertholon

ImpressionTrès bonAprès la chronique de Pretty Books, j’ai longtemps repensé à ce roman qui me faisait très envie, mais un peu hésitante, car il ne correspondait pas du tout à mes lectures habituelles. Sur un coup de tête, j’ai décidée de me plonger de ce récit bouleversant et je ne regrette absolument pas d’être sortie de ma zone de confort, pour tenter quelque chose de nouveau.

Delphine Bertholon nous emmène dans une thématique difficile, Clémence vient d’avoir quinze ans, elle est insouciante comme les jeunes filles de son âge, heureuse de l’ouverture d’un nouveau cycle, elle vient de finir le collège et se réjouie de sa future entrée au lycée. Pourtant, il suffit d’un instant pour changer une vie à jamais, alors qu’elle se rendait à une fête, Clémence est agressée par un homme avec un couteau en plein jour. Cet évènement va être un réel traumatisme dans sa vie et va changer à jamais sa perception de la vie, même des années plus tard. Ce silence dans lequel elle va se murer, va la ronger de l’intérieur, elle va progressivement se créer une nouvelle identité, pour devenir quelqu’un de totalement différent, insensible à tout et terriblement marquée.

Le roman se divise en deux parties, alternées entre les événements de l’enfance et de la vie d’adulte. Le début renvoi aux dégâts que l’agression a causée, jeune fille ou femme souffre en silence, préférant taire sa honte et se répétant que ce n’est rien.Malgré le traumatisme, le sexe va avoir une place importante dans la vie de Clémence. Que ce soit son métier de maquilleuse pour poupée, destiné au plaisir sexuel ou sa propre vie sexuelle. Adolescente, elle ne va pas être très regardante sur ses partenaires préférant se donner pour ne pas que ce soit prit. Dans sa vie d’adulte, le sexe est beaucoup plus « cadrée », mais c’est la même rengaine tous les 29 du mois elle oublie dans les bras d’un homme. Clémence ne s’aime pas, elle est en colère, contre elle, contre ses parents, mais surtout contre lui et contre le monde entier. Mais se murer dans le silence, ne va lui apporter que davantage de souffrance.

La deuxième partie va être marquée par un évènement ressurgit du passé, il y a un avant, et il y a un après. Clémence qui vie depuis si longtemps anesthésier du monde, que le retour à la réalité va avoir un arrière goût. Malgré les quinze années qui se sont écoulés, toute la vie de Clémence repose sur ce jour sordide, chaque décision qu’elle a prise correspond à ce jour et surtout chaque pensée la renvoie à ce jour. J’ai trouvé très intéressant l’alternance entre le passé et le présent, car on comprend mieux son état d’esprit après l’agression et les raisons de sa solitude dans sa vie de femme adulte.

En commençant ce livre, je n’avais qu’une crainte que l’on tombe dans le sordide. Un sujet pareil est lourd à traiter et retranscrire des émotions fortes sans dégoûter n’est pas facile. Tout au long du roman, j’ai été très attristée pour Clémence et je me suis rendu compte qu’il m’était arrivée de réagir comme Virgile en me disant « C’est moins grave qu’un viol ». En lisant ce roman, je me suis sentie mal parce que ce n’est pas rien et je m’en veux de l’avoir un jour pensée. Clémence est totalement détruite, vide et insensible, c’est là que le titre prend toute sa signification « Les corps inutiles ». C’est l’histoire d’une jeune femme qui a grandi beaucoup trop vite, c’est l’histoire d’un traumatisme qui a complètement changé la vie d’une adolescente, c’est l’histoire d’une femme qui n’arrive pas à se reconstruire malgré les années… On n’imagine pas comment un simple jour, peut configurer le reste de notre vie.

Delphine Bertholon m’a ouvert les yeux sur toutes ces victimes qui culpabilisent, qui ont honte et qui souffre sans jamais tomber dans le pathos. Un livre bouleversant qui m’a énormément touchée.
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Lignes de Vie | Samantha Bailly

ImpressionTrès bonAprès une première déception sur un roman de Samantha Bailly, j’ai décidé de lui laisser une seconde chance. C’est avec une petite pointe d’appréhension que je me suis lancée dans ma lecture. Je ne m’attendais pas à tomber sur un roman épistolaire, lettres ne m’ont jamais vraiment attirées et pourtant on rentre facilement dans cette échange entre Antoine et Gabrielle.

Tout commence par une simple lettre, débute alors une correspondance unique entre les personnages. Sur un coup de tête, Antoine dépose un courrier dans la boite aux lettres de Gabrielle. D’abord septique à la lecture de cette première lettre, Gabrielle se laisse convaincre. Au fur et à mesure des lettres les confidences commencent, la vie de l’un influence celle de l’autre et une amitié se crée. On découvre deux personnages attachants, nous les découvrons grâce à leur lettre. C’est aussi le cas pour eux, ils ne se connaissent pas et pendant plusieurs mois, ils vont établir un lien particulier indéfinissable.

A travers cet échange émouvant, j’ai eu la sensation d’être une intruse, un voyeur, car cette correspondance est intime. Par l’intermédiaire de ces lettres, Antoine et Gaby partagent des moments de leurs vies, le besoin d’extérioriser leurs pensées, l’inconnu exerce une sorte de réconfort. Chacun décide de coucher sur le papier des moments importants de leurs vies. Tel un journal intime, les personnages vont se confier leurs joies, leurs craintes ainsi que leurs échecs.

Ce livre n’a qu’une centaine de pages, alors les lettres se lisent rapidement. Cette histoire émouvante toute en douceur qui s’étale sur plusieurs mois, la relation entre les personnages prend forme sous nos yeux, au gré des confidences. C’est un sentiment assez particulier que me laisse cette lecture, les lettres étaient à la fois intimes et détachées. A la fin, il y a cette sensation que les lettres n’en disaient pas assez, malgré l’intimité de l’échange pourtant une question subvient : Et après ?
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